Besançon : le boulanger fourrait lui-même ses galettes frangipane

L’appellation « fait main » n’aura jamais aussi bien portée son nom avec ces galettes frangipane fourrées d’une façon bien peu orthodoxe par un boulanger bisontin.

La guerre des galettes fait rage chaque année dans la capitale comtoise. Il s’avère en effet qu’à Besançon, les gens préfèrent depuis toujours la galette comtoise (appelée aussi galette au goumeau) à la galette frangipane fourrée à la poudre d’amande.

Malheureusement, une frange de plus en plus importante de la population délaisse nos galettes traditionnelles comtoises pour se tourner vers les galettes frangipane. Ce qui a le don d’irriter, voire carrément d’exaspérer nos boulangers comtois traditionalistes.

Ne supportant plus ces insupportables provocations, un boulanger du centre ville de Besançon a souhaité se venger de ces comportements peu respectueux de nos traditions. Ce dernier a eu l’idée diaboliquement originale de fourrer lui-même … ses galettes frangipane.

D’apparence identique à celles produites dans le reste de notre pays, ces galettes « fait maison » comportaient un fourrage crémeux dont la bienséance et la morale nous interdisent de décrire ici la composition.

Surpris dans l’action par un jeune apprenti dijonnais alors qu’il était en train de fourrer dynamiquement plus d’une cinquantaine de galettes, le boulanger a été convoqué sur le champ au poste de police pour rendre compte de ses pratiques peu orthodoxes.

Afin d’éviter toute hystérie collective et menaces envers le boulanger et sa famille, les autorités n’ont pas souhaité relever l’identité de la boutique. On notera seulement qu’entre l’interpellation de l’indélicat et la révélation à la presse de ses pratiques honteuses, bon nombre de clients réguliers se sont émus de la disparition sur l’étal du boulanger de ses galettes frangipane apparemment très appréciées par la fidèle clientèle.

La rédaction

Crédits image : Lionel Allorge / Creative Commons

 

 

  1. Et l’boulanger chantait (bis)
    Un truc qui m’colle encore au palais et aux dents:
    « J’aime la galette, savez-vous comment ?
    Quand elle est bien faite, avec du XXXXXX dedans ! »

  2. Donc le mec est un gros dégueulasse et on le protège en ne relevant pas l’identité de la boutique. Mais je crois que l’hystérie collective serait largement justifiée.

    • Sachant que cet article est une intox, comme tout le reste du site, je ne vois absolument pas en quoi l’hystérie collective serait à même d’être justifiée.

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  4. C’est vrai qu’elles étaient bonnes ses galettes ! Moelleuses à souhait ! Ma soeur – qui depuis est tombée enceinte – s’en était fait une belle indigestion. Heureusement qu’il ne fourrait pas aussi ses miches !

  5. Pill Bill et pis Fanny 24 janvier 2019, 18 h 51 min

    Et après, il tirait les rois…

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