Composé à 98,99 % de matière fécale extraterrestre vitrifiée, l’astéroïde Oumuamua en forme de cigare ne serait pas un vaisseau extraterrestre mais juste un énorme étron intergalactique.
Depuis sa récente découverte le 19 octobre par le télescope Pan-STARRS1 situé à Hawaï, un mystérieux astéroïde ne cesse d’intriguer les scientifiques, ce qui explique que les radiotélescopes du monde entier se braquent vers lui à mesure qu’il traverse notre système solaire. Doté d’une drôle de forme ressemblant à un cigare, il possède une couleur rouge tirant vers des teintes sombres.
Baptisé « Oumuamua » – le « Messager » en langue hawaïenne -, cet objet céleste fascine toute la communauté scientifique internationale. Par sa forme, d’abord. Il mesure 400 mètres de long sur 40 de large. Il ressemble donc à un gigantesque cigare et cette forme est sans précédent parmi les très nombreux astéroïdes et comètes répertoriés dans notre système solaire, les astronomes ont donc conclu sans équivoque que cet astéroïde était de nature interstellaire.
Sa composition demeurait totalement inconnue jusqu’à ce qu’une équipe de scientifiques de l’observatoire de Besançon arrive à décrypter la nature exacte des éléments le constituant. Doté d’un émetteur hautes fréquences cyclo-parabolique à circonvolution stationnaire (EHFCPCS pour les initiés), les astronomes bisontins ont envoyés un train d’onde pulsé de haute puissance en direction de l’objet intergalactique. Les ondes réfléchies et renvoyées sur terre n’ont laissé aucun doute sur sa composition.
« Cet objet est en fait un énorme étron Alien vitrifié » déclare ému Jean-Paul Massu, le directeur de l’observatoire . Et de rajouter : « Nous n’avons aucune idée de la forme de l’Alien l’ayant expulsé mais nous pouvons affirmer avec certitude que la bestiole était d’une taille conséquente et souffrait, vu la couleur de l’objet, de quelques problèmes hémorroïdaires ».
La communauté scientifique se trouve soulagée de cette annonce et croise maintenant les doigts pour que l’étron intergalactique ne vienne pas percuter notre planète, les humains ayant suffisamment matière à régler actuellement.
Et ben si ça nous tombe dessus, on va vraiment être dans la bouse !