Porter quotidiennement un masque durant de nombreuses heures, provoque des effets bien réels sur notre métabolisme. C’est ce que viennent de démontrer des chercheurs de l’Université de Besançon (Doubs).
Après avoir étudié durant quinze mois, une population de 935 personnes, les scientifiques ont conclu que la sensibilité au froid du bas du visage est réduite de manière conséquente lorsque l’on porte un masque en extérieur, en hiver. Neuf personnes sur dix seraient concernées.
Si la pandémie de COVID-19 est catastrophique par de nombreux aspects, il convient cependant de reconnaître qu’elle aura permis des avancées et découvertes scientifiques majeures.
La rédaction