L’hôpital de Besançon recherche 150 volontaires pour tester un vaccin contre la connerie

Vaccination

Le développement d’un vaccin contre les récidives du cancer par les équipes du CHRU de Besançon illustre bien les performances de nos équipes de chercheurs dans le domaine de l’innovation médicale. Fort de ce succès, l’hôpital régional ne compte pas en rester là et développe actuellement un vaccin qui pourrait bien − s’il aboutit − changer la destinée de l’humanité toute entière.

Ce programme de recherche est dirigé par le professeur Jacques Cassebrain – docteur en médecine comportementaliste – qui nous présente son travail : « Le développement de ce vaccin est une prouesse médicale totalement novatrice car il vise à éradiquer une maladie ancestrale qui ronge l’ensemble des sociétés humaines : la connerie. Ce mal n’est cependant pas une fatalité et nous portons tous nos espoirs sur la mise au point de ce vaccin. »

Le professeur se plaît à  comparer la connerie avec le VIH (virus du SIDA) : « Quand on en est contaminé, c’est pour la vie. Et malheureusement, on découvre souvent tardivement que l’on est atteint. La comparaison doit toutefois être pondérée car un simple préservatif n’a jamais protégé quiconque de la connerie. Une bonne éducation est autrement plus efficace. »

Des tests impossibles sur l’animal

L’équipe du professeur Cassebrain débutera en mai prochain la phase des essais cliniques mais sans avoir pu préalablement expérimenter son vaccin sur l’animal. « Les animaux ne sont jamais cons car la connerie est une affection spécifiquement humaine », précise le chercheur, « On ne peut donc tester notre vaccin que sur des humains. »

L’équipe du professeur Cassebrain recherche donc 150 volontaires des deux sexes pour tester cliniquement ce nouveau vaccin. « Nous avons évidemment une préférence pour les cas très prononcés. Les gros cons et les grosses connes seront donc les bienvenus. Mais le problème avec ces patients de choix, c’est que leur pathologie avancée leur ôte toute conscience de leur état réel. Ils ne viendront donc pas de leur propre initiative. »

Envoyez vos proches

L’équipe du professeur Cassebrain emploie donc un recruteur que vous pourriez croiser dans les rues de Besançon. Mais les chercheurs souhaitent surtout encourager les personnes saines d’esprit à leur adresser les cons qui se trouvent dans leur entourage familial ou professionnel.

Afin de motiver les volontaires recommandés, le professeur Cassebrain a fait installer un panneau à l’entrée de l’hôpital Minjoz. Chaque type de volontaire devrait y trouver une direction de son goût qui l’amènera directement entre les mains des chercheurs.

pancarte-CHRU

Si l’une de ces directions vous attire, contactez le service du professeur Cassebrain

 

  1. J’ai des noms : voir les réactions à l’article sur le teckel-saucisse de Morteau.

  2. L’établissement n’aura aucun mal, rien qu’à Besançon, à trouver des volontaires…

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