C’est la grande affaire du moment. Une agnelle sur laquelle les scientifiques de l’INRA (Institut national de recherche agronomique) se livraient a des expérimentations génétiques s’est retrouvée transférée vers un abattoir puis… dans l’assiette d’un consommateur.
Une procédure rigoureusement interdite par les règlements en vigueur, l’agnelle ayant reçu une protéine de méduse dans le cadre d’une expérimentation supposée bénéficier à la recherche sur la cardiologie humaine.
Heureusement, la traçabilité de la viande a rapidement permis de retrouver la personne ayant consommé cette viande « d’agneau-méduse ». Il s’agit d’un Franc-Comtois d’un trentaine d’années qui souhaite conserver l’anonymat. Contacté par nos soins, l’homme l’affirme : « Je vais bien ».
La rédaction
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Tant mieux pour lui.
Était-ce un calamar ?