L’interdiction de certains produits non recyclables et particulièrement polluants entre en vigueur au 1er janvier 2020.
Trois ans après les sacs de caisse jetables, ce sont désormais les rouleaux de papier toilette, les cotons-tiges et les assiettes en plastique qui s’apprêtent à disparaître des rayons de nos magasins. Au 1er janvier, leur mise sur le marché sera interdite.
Inscrite dans la loi de 2015 sur la transition énergétique, cette interdiction inquiète néanmoins de nombreux français : « Les cotons-tiges et les assiettes en plastique, c’est pas grave, mais comment qu’on va faire sans papier toilette ? » s’interroge cette jeune femme en panique croisée à la veille du Jour de l’An dans une file d’attente de plusieurs centaines de mètres de long devant le Monoprix du centre-ville de Besançon.
Car si chacun s’accorde ici comme ailleurs à reconnaître l’utilité de ces mesures prises pour la préservation de notre environnement, peu semblent préparés à ce chamboulement majeur de leur mode de vie : un monde sans papier toilette.
Pourtant, des solutions alternatives existent et certains envisagent à cette fin de recycler des objets devenus inutiles par le réchauffement climatique en cours, comme en témoigne cet astucieux retraité Bisontin. « Ça fait des années qu’on voit plus de neige. Alors la raclette à neige, comme elle sert plus à rien, je vais la mettre aux toilettes. Si ça racle la neige, ça peut tout racler… »
La rédaction
Avant, on se rinçait les fesses dans le ruisseau d’à coté. Bon, maintenant on a les toilettes. J’ai du créer un tuyau, et ça marche du tonnerre
Fake. Mais d’où sortez vous cette histoire pour ce qui est du papier toilette…allez vraiment lire le décret de fin décembre, issu de la loi de 2015, et vous verrez que, contrairement aux cotons tiges à bâtonnet plastique et autres objets à usage unique, le PQ n’a jamais été dans la liste. Dommage de dire n’importe quoi sur un sujet important.
l’interdiction de cerveau n’est pas non plus encore entrée en service, pourtant certains semblent déjà l’appliquer…
Je ne lave plus mon ku. Je me suis fais greffer des poils Teffal.
Bonjour Chalot.
Dommage qu’un cœur aigri ne reconnaisse qu’un avis très premier degré de cet article.
À la base je voulais faire un message méchant, mais j’ai préféré me rincer les fesses au gros sel à chaque fois que je disais un vilain mot. Punition parfaite pour m’efforcer d’être bienveillant.
J’ai enlevé l’autocollant « Pas de pub » de ma boîte aux lettres. J’aurai de nouveau du papier, et gratuit en plus. Et comme je ne peux pas, décemment, le laisser partir dans les toilettes, je m’en sers pour allumer ma cheminée, astucieux recyclage. Quoi les odeurs ?
Ceux qui voyagent ont ramené la solution il y a longtemps.
Certaines tribus nomades utilisent des galets trouvé dans les rivière ou les plages.
Après usage, il suffit de les rejeter à la rivière.
On peut en choisir de toutes tailles, de toutes couleurs et autant qu’on veut, c’est le même prix (gratuit).
Bien sûr, j’entend déjà les idiots de services gueuler : » tout le monde n’habite pas à coté d’une rivière ou d’une plage à galets ».
Mais JUSTEMENT, c’est là que l’idée de génie de ce gouvernement .
Cela va créer un tas d’emplois et de services nouveaux :
Mine de galets, transporteurs de galets, trieurs (tailles, couleurs, poids, matières …), nettoyeurs, petits et grands commerces, et tutti quanti.
LA FRANCE va même ENFIN relancer son industrie de mini-menhirs abandonnée depuis la conquête de la gaule et DU PREMIER grand remplacement qui en a suivis.
Et puis, dans les manifs, les gens ne jetteront plus de pavés, ils les reprendront pour s’en servir comme galets.
Bref, bonne année.